Hydrocarbures : Perenco consacrera 75% de ses investissements à l’Afrique en 2025 - FINECO

Hydrocarbures : Perenco consacrera 75% de ses investissements à l’Afrique en 2025

La compagnie pétrolière Perenco consacrera les trois-quarts de son budget d’investissement de 2 milliards de dollars à l’Afrique en 2025, dans le cadre de sa nouvelle stratégie de développement axée sur l’exploitation du gaz naturel. L’annonce a été faite par Boomberg le jeudi 7 novembre qui cite le directeur général de la société. Pour l'année 2025, Perenco ambitionne de consolider sa présence en Afrique centrale et d'accroître significativement sa production dans la région. Selon l’agence américaine Bloomberg Africa, le groupe pétrolier franco-britannique prévoit d'investir massivement dans cette zone, en y consacrant 75% de son budget global d'investissements qui est de 2 milliards de dollars (environ 1,210 milliards de Fcfa) à environ cinq pays, soit 1,5 milliard de dollars (environ 900 milliards de Fcfa). Ces fonds seront principalement alloués aux opérations de forage et de production au Cameroun, Congo, Gabon, Tchad et la République démocratique du Congo. D’après la source, ce choix stratégique s'explique par le potentiel important en hydrocarbures de cette région, notamment grâce aux récentes découvertes de gisements, la signature et le renouvellement de plusieurs contrats pétroliers avec ces Etats et le rachat d’actifs dans certaines compagnies. En effet, l'Afrique centrale abrite d’importantes réserves prouvées de pétrole et de gaz du continent, offrant ainsi de belles perspectives de croissance à Perenco. « Dans le cadre de la transition, le gaz joue un rôle clé et constitue une partie très importante de la stratégie à venir. Nous pensons qu'il existe de nombreuses réserves de gaz non exploitées le long de la côte africaine qui pourraient être ciblées avec ce type de développement. », a déclaré Armel Simondin, PDG de Perenco à l’agence. Ce choix stratégique s'inscrit ainsi dans le cadre d'une volonté du pétrolier d'accélérer le développement de ses actifs dans cette partie du continent, avec pour but de rehausser ses capacités de production globale estimée à 500 000 barils par jour. Une production qui, selon des indiscrétions, aurait diminué au cours de l’année en cours.

La compagnie pétrolière Perenco consacrera les trois-quarts de son budget d’investissement de 2 milliards de dollars à l’Afrique en 2025, dans le cadre de sa nouvelle stratégie de développement axée sur l’exploitation du gaz naturel. L’annonce a été faite par Boomberg le jeudi 7 novembre qui cite le directeur général de la société.

Pour l’année 2025, Perenco ambitionne de consolider sa présence en Afrique centrale et d’accroître significativement sa production dans la région. Selon l’agence américaine Bloomberg Africa, le groupe pétrolier franco-britannique prévoit d’investir massivement dans cette zone, en y consacrant 75% de son budget global d’investissements qui est de 2 milliards de dollars (environ 1,210 milliards de Fcfa) à environ cinq pays, soit 1,5 milliard de dollars (environ 900 milliards de Fcfa). Ces fonds seront principalement alloués aux opérations de forage et de production au Cameroun, Congo, Gabon, Tchad et la République démocratique du Congo. D’après la source, ce choix stratégique s’explique par le potentiel important en hydrocarbures de cette région, notamment grâce aux récentes découvertes de gisements, la signature et le renouvellement de plusieurs contrats pétroliers avec ces Etats et le rachat d’actifs dans certaines compagnies.

En effet, l’Afrique centrale abrite d’importantes réserves prouvées de pétrole et de gaz du continent, offrant ainsi de belles perspectives de croissance à Perenco. « Dans le cadre de la transition, le gaz joue un rôle clé et constitue une partie très importante de la stratégie à venir. Nous pensons qu’il existe de nombreuses réserves de gaz non exploitées le long de la côte africaine qui pourraient être ciblées avec ce type de développement. », a déclaré Armel Simondin, PDG de Perenco à l’agence. Ce choix stratégique s’inscrit ainsi dans le cadre d’une volonté du pétrolier d’accélérer le développement de ses actifs dans cette partie du continent, avec pour but de rehausser ses capacités de production globale estimée à 500 000 barils par jour. Une production qui, selon des indiscrétions, aurait diminué au cours de l’année en cours.