Cession : Carlyle veut d’acquérir les actifs pétroliers de Lukoil - FINECO Cession : Carlyle veut d’acquérir les actifs pétroliers de Lukoil - FINECO

Cession : Carlyle veut d’acquérir les actifs pétroliers de Lukoil

Cession : Carlyle veut d’acquérir les actifs pétroliers de Lukoil

Le fonds américain The Carlyle Group étudie la possibilité d’acquérir les actifs pétroliers et gaziers détenus à l’étranger par Lukoil, le deuxième producteur russe de pétrole. Selon des informations rapportées jeudi 13 novembre par la presse internationale, l’opération concerne un portefeuille dont la valeur est estimée à environ 22 milliards de dollars sur la base des comptes 2024 de Lukoil.

Les actifs, que Lukoil évalue à environ 22 milliards de dollars, comprennent des raffineries en Europe, des participations dans des gisements pétroliers au Kazakhstan, en Ouzbékistan, en Irak, au Mexique, au Ghana, en Égypte et au Nigeria, ainsi qu’un réseau mondial de stations-service. Ce portefeuille représente environ 0,5 % de la production mondiale de pétrole.

Toute transaction nécessiterait une licence américaine. Selon certaines sources, Carlyle envisage de déposer une demande avant d’entamer les vérifications préalables, mais la société pourrait se retirer en fonction du calendrier et des risques géopolitiques. Carlyle a déjà fait part de son intérêt à Lukoil.

Le Trésor américain a récemment bloqué l’acquisition de ces actifs par Gunvor, société suisse de négoce de matières premières, la qualifiant de marionnette du Kremlin. Gunvor a depuis retiré son offre. Selon les analystes, Carlyle a plus de chances d’obtenir l’approbation de Washington, mais le court délai et le contexte politique délicat engendrent une incertitude considérable.

Les États-Unis ont fixé au 21 novembre la date limite pour toute transaction avec Lukoil, sauf en cas d’octroi d’une licence. Lukoil a demandé une prolongation.

Les opérations de Lukoil à l’étranger ont déjà été perturbées par les sanctions, affectant ses activités en Irak, en Finlande et en Bulgarie.

Carlyle, qui gère 474 milliards de dollars d’actifs à l’échelle mondiale, n’a pas souhaité faire de commentaires. Lukoil n’a pas non plus répondu aux demandes de commentaires.Cession : Carlyle veut d’acquérir les actifs pétroliers de Lukoil

Le fonds américain The Carlyle Group étudie la possibilité d’acquérir les actifs pétroliers et gaziers détenus à l’étranger par Lukoil, le deuxième producteur russe de pétrole. Selon des informations rapportées jeudi 13 novembre par la presse internationale, l’opération concerne un portefeuille dont la valeur est estimée à environ 22 milliards de dollars sur la base des comptes 2024 de Lukoil.

Les actifs, que Lukoil évalue à environ 22 milliards de dollars, comprennent des raffineries en Europe, des participations dans des gisements pétroliers au Kazakhstan, en Ouzbékistan, en Irak, au Mexique, au Ghana, en Égypte et au Nigeria, ainsi qu’un réseau mondial de stations-service. Ce portefeuille représente environ 0,5 % de la production mondiale de pétrole.

Toute transaction nécessiterait une licence américaine. Selon certaines sources, Carlyle envisage de déposer une demande avant d’entamer les vérifications préalables, mais la société pourrait se retirer en fonction du calendrier et des risques géopolitiques. Carlyle a déjà fait part de son intérêt à Lukoil.

Le Trésor américain a récemment bloqué l’acquisition de ces actifs par Gunvor, société suisse de négoce de matières premières, la qualifiant de marionnette du Kremlin. Gunvor a depuis retiré son offre. Selon les analystes, Carlyle a plus de chances d’obtenir l’approbation de Washington, mais le court délai et le contexte politique délicat engendrent une incertitude considérable.

Les États-Unis ont fixé au 21 novembre la date limite pour toute transaction avec Lukoil, sauf en cas d’octroi d’une licence. Lukoil a demandé une prolongation.

Les opérations de Lukoil à l’étranger ont déjà été perturbées par les sanctions, affectant ses activités en Irak, en Finlande et en Bulgarie.

Carlyle, qui gère 474 milliards de dollars d’actifs à l’échelle mondiale, n’a pas souhaité faire de commentaires. Lukoil n’a pas non plus répondu aux demandes de commentaires.